Pour commencer je vous prie, chers amis Belges, de m’excuser si par mes mots qui suivent,
je vous insulte…mais voilà, la vérité, ma vérité doit être dite :
Le chocolat Suisse est belle et bien le meilleur au monde qui existe et c’est de celui là que je vais vous parler.
Alors quand je vous l’exprime, avec délices, mhh délices malicieux,
à quel point le chocolat me rapproche des cieux
Je vous le dis et redis en vous regardant droit dans les yeux
Une découverte cette fève de cacao, digne d’être loué comme tout les Dieux !
La fève subit 7 étapes de tortures pour ensuite se venger en retour et nous torture avec infinies tentations de plaisirs gouteux et même couteux...
La fève est torréfiée, c’est à dire soumise à une température de 120 dégrées
Concassées réduite en fragments de 2 à 3 mm
Broyées une première fois pour devenir de la pâte de cacao
Mélangées avec d’autres ingrédients, comme le beurre de cacao, le sucre, du lait
Le second broyage apportera au chocolat la finesse
Le conchage qui permet d’éliminer les derniers acides dérangeant et de donner au chocolat un velouté particulier
Puis la finition, donc le moulage ou l’enrobage qui se fait quand la température du chocolat est à 30 degrés
La 8eme étape, mon étape : Le devorage !
Si ce mot n’existe pas, je l’invente aujourd’hui.
Dans mon vocabulaire, oui absolument il existe.
Je suis experte dans le domaine du devorage !
Ce moment presque magique, qui commence avec le son que fait l’emballage qui cache cette merveille. Une fois dévoilée, nudité exquise qui laisse libre cours à l’imagination.
La salive en réaction seulement naturelle, à la vue de ces œuvres d’arts.
Puis les feux d’artifices buccale, découverte de douceurs, de sensations nouvelles j’irais jusqu'à exprimer de tendresses…
C’est avec un soupir amoureux en amour que je termine mon éloge au chocolat !
Et voilà le tour est joué je craque, je succombe, je me laisse aller … juste un autre petit morceaux.