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— Valéry Troisquart-Destin : Je ne vois pas où est le problème. Pourquoi refuser le mot "pécho" dans notre bon dictionnaire de la Cacadémie ! Chacun sait qu'il est désormais d'usage courant depuis ma célèbre phrase : Lady Di, je l'ai pécho !"
— Simone Vieille : Mais enfin, Cher Président, ce mot est vulgaire et argotique, nous ne pouvassons point le retiendre , eusse-fut-il tété zemployé par votre bouche sensuelle !
— Alors toi, la Vielle, tu penses bien que je t'ai pas pécho, et que c'est pas moi qui aurait disé : En voiture Simone, je t'emmène chez la Tronchette ! T'es qu'une jalouseuse qui me met des caleçons dans les roues.
— Alain Decocaux : allons voyons ! Un peu de tenue ! Moi qui suis grand historien et un ancien du lycée Janson de Sailly, je sais ce qu'il en est de "la chose". D'ailleurs dans mon Dictionnaire amoureux de Alexandre Dumas, (2010 - chez Plon dans ta cervelle), on trouve déjà l'expression certes, non pas dans la version verlan mais en lanver, ce qui donne : " Le comte de Rochefort avait chopé la chtouille entre les cuisses de la belle Milady de Winter" (in. "Les Trois Moustiquaires")
— Jean d'Ormaison : en effet, Alain n'a pas tout à fait tort, le mot mérite attention, et comme je l'écrivais encore cet été dans Le Figaro : "On remarque que, malgré la crise, dès qu'il y a du soleil, il pécho dans les T-Shirts dans les maillots."
— Max Galopin : En tant que fils d'immigrés italiens, titulaire d'un CAP de mécanicien-ajusteur, je suis favorable à ce que l'on ajuste les mots dans le bon sens. Donc je m'oppose à retenir "pécho", parce que la pièce ne s'ajuste pas nettement dans son orifice récepteur, et que morbleu et foutrecul, moi qui ai soutenu sans débander Mitterrand, Chevènement, Sarkozy et Hollande, je vais quand même pas me faire mettre à mon âge par Valéry Troisquart-Destin. Donc ce sera : Nein !
— Jean-Denis Gredin : Si je puis me faire mettre - pardon - Si je puis me permettre, en tant qu'académichien-mi-chat-mi-figue-mi-déraison, avocat célèbre et mouillé jusqu'à l'os dans l'Affaire Tapie, lequel a toujours bien niqué tout le monde, je pense que "pécho" doit être retenu, afin que nous puissions promeuvre l'expression : "sul'Tapie, ta pécho ; Dans mon kiki vos zimpots"
Valéry, vous avez donc mon soutien sans faille moyennant les même honoraires que j'ai perçus dans l'arbirage Tapie-truqué, soit : 330.000 euros.
Chers zoo-diteurs, après ce "live" académique, nous laissons les cacadémiciens poursuivre leurs inutiles travaux.
Nous rendons donc l'antenne :
A vous Wikipédia !
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