Ô combien blanc et gris
Est ce noir qui détruit.
Pureté destructrice,
Folie, seule vie des hommes,
Rêves doux sans espoirs.
Tant est haute la barre
Qu'à dans les roues l'humanité,
Qu'elle est hors de portée,
Comment le gris ose-t-il chercher
Ce blanc si éloigné ?
Au mépris du mépris,
Haine tant de fois haïe,
Le noir dépasse le gris,
Le blanc anéantit
Nos simples et belles vies,
Nous apprenant le rêve,
Qui nous laisse sans trêve,
Le blanc n'est que mort,
Le gris n'est que morne,
Le noir n'est que borgne.
Fin.
Maintenant, on va jouer à un jeu. Celui qui arrive à comprendre mon charabia gagne le droit de le dire.