Chanson de la Bebelplatz à la Jacques Prévert

un autre univers que tu nous fais visiter ici, train... tu as pris un chemin radicalement différent des autres participants, le côté "histoire", et son cortège de leçon apprises dans la douleur.

un beau regard, avec toujours chez toi, ce petit air "maladroit", qui pourtant nous cueille bien trop souvent pour que ce soit vrai

Tu as bien fait de rappeler ici cette sinistre époque .
Ta chanson de la Bébelplatz m'a incité à surfer sur le Net (Wiki) pour parfaire mon information.
J'y ai découvert cette phrase :

Citation :

« Là où on brûle les livres, on finit par brûler les hommes »).

Merci à vous deux pour les commentaires

catsoniou a écrit:

J'y ai découvert cette phrase :
« Là où on brûle les livres, on finit par brûler les hommes »

Oui phrase écrite par Heinrich Heine, dont ses livres furent aussi brûlés cent ans plus tard sur cette place.

oh ça me rappelle une consigne, ça...

édit : vi, mais ça date à lire ICI

Ben ça nous rajeunit pas ça Pati
Train, oui radicalement différent mais très bien vu également. Je suis toujours épatée de la diversité des chemins empruntés par les kaléidoplumiens lors d'une consigne....

Très inattendu et original (comme tu le fais d'ailleurs depuis plusieurs consignes!!!) et instructif !


ps : et merci pour la citation en prime !

J'aime beaucoup ta vision très originale de la consigne

Un regard décalé et instructif! La consigne prend différents visages, c'est super!

J'ai découvert avec ton texte l'histoire de la Bebelplatz.

Un morceau de Savoir en plus...

Je trouve la photo de la "bibliothèque engloutie" assez surprenante, comme si un fantôme s'était retrouvé piégé dans le sol.

Faut que j'y aille... j'en apprends des choses .

Oui, ca rappelle une certaine consigne mais je ne connaissais pas le lieu ou les livres avaient ete brules.

Ca me fait egalement penser a cette autre parole souvent citee "En Afrique, quand un veillard meurt
c'est comme une bibliothèque qui brule" d'Amadou Hampate, et (je ne sais pas si le lien va marcher)
de ce texte, mais l'article qui decoule de la citation ci-dessous donne un peu froid dans le dos,
car tout peut toujours recommencer... (article du bas de page sur le lien)

ici

Un acrostiche sur la Bebelplatz, alors là, je suis sciée...
Et Prévert dans tout ça, on s'y perd un peu.
L'important, Train, est que tu aies fait prendre conscience de cet épisode historique.