A vrai dire ce genre de « grand sujet » a tendance à m'intimider et à bloquer mon imagination. Dans la bouche d’un personnage d’exception comme Mandela, elles sont à leur place. Sous ma plume, il y a de fortes chances qu’elles apparaissent pompeuses ou artificielles. Je ne vais pas me dérober, il faut garder le rythme d’écriture, mais faut que je trouve un biais pour traiter ça, étant incapable de le faire frontalement.