Merci Plume. Je suis contente que le cote universel ressort car je me suis impregnee de la phrase de la consigne:
"Se reconnaître ainsi tributaire des infinis visages du monde, c'est sans doute, comme le voulait Hölderlin, habiter en poète sur la terre. "
avant de me lancer.
Et les premieres trois lignes etaient deja ecrites en rapport a une reponse dans un Renku, ces rivieres qui confluent c'est entre autres, la Saone et le Rhone, et le Ganges et Sarhaswati.
PS: j'ai eu beaucoup de mal a ne pas employer le mot 'souffle' qui revenait sans cesse sous ma plume... mais j'avais deja lu Bruyere, qui avait souffle deja un de mes mots favoris....