Il m'a bien eue...

J’ai dit :
« Un deux trois, soleil ! »
Je me suis retounée
Le soleil n'avait pas bougé
Mais il s’était rapproché de moi
Il faut le voir pour le croire.

J’ai donc redit, plus vite cette fois :
« Un deux trois , soleil ! »
Je me suis retournée,
Il était là , à un mètre de moi !
Alors j’ai cru…

Au risque de me répéter,
Je n’allais quand même pas me priver de cette joie,
J’ai donc remis çà et j’ai dit :
« Je compte jusqu’à trois…
Un deux trois… soleil ! »
Je n’ai pas eu le temps de me retourner
Le soleil avait sauté sur mes épaules,
En riant comme un fou.
Il avait gagné …
Quant à moi :
Il m’a bien eue.

C'est beau!
C'est gai!
C'est enjoué!
C'est mignon à croquer!
Garde le soleil bien accroché, et prêtes-nous en un peu

" le soleil avait sauté sur tes épaules "
roooooh le rêve !!!!!

oui prêtes nous-en un peu !!!

Hé, hé, toi aussi, tu as pensé à un jeu " un, deux, trois, soleil"
Faut croire que toi et moi avons retrouvé nos âmes enfantines de la cour de récré, pour garder le moral !

C'est chaud, c'est léger, c'est agréable comme un rayon de soleil après la pluie !

Rien qu'à te lire Charlotte, je suis réchauffée par ton soleil en vers.

Très rythmé et plein de fantaisie, un texte qui se lit avec beaucoup de plaisir.

Léger et enjoué! J'aime beaucoup

parfait on arrive même à le chantonner !

Le soleil sur les épaules, c'est un ensoleillement parfait comme l'est ton poème.

Un deux trois: Merci beaucoup pour vos commentaires très chers kaléidoplumiens.

C'est très frais, comme l'enfance et ses jeux inoubliables Charlotte.
Je dois dire que j'aime beaucoup quand la dernière phrase remet tout en question, comme dans ton poème. Cela surprend et étonne. Bravo !

Comme tu joues joliment avec le soleil ! Tu en as de la chance qu'il soit assez familier pour te sauter sur les épaules. Avec nous autres, il est plutôt distant.

J'ai adoré