Une chose inimaginable ( 1 )

Non, je n'ai pas participé au Marathon mais ce que j'en ai lu, me donne envie.

Alors, en trifouillant selon la consigne, dans mes textes anciens, je suis tombée sur un texte écrit à l'atelier d'écriture chez Coumarine il y a déjà....pas mal de temps.

Ce texte dont le sujet est "léger", est gravé dans ma mémoire par les remous qu'il a suscité dans ma famille.

Juste pour voir un peu la réaction de mes deux fistons ( qui n'arrêtent jamais leurs taquineries ), j'ai volontairement laissé traîner ce texte dans une enveloppe avec mention " A n'ouvrir qu'après ma mort "

L'aîné avait déjà quitté la maison, restait le plus jeune alors étudiant à l'Univ'. Il n'a pas résisté à la tentation, a ouvert l'enveloppe et....s'est empressé de prévenir son frère.

Ensuite, après beaucoup de discussions ( ils savaient que j'avais fréquenté ce club de jeunes !) ils décidèrent d'aller voir ma mère. Ils lui montrèrent le texte et elle confirma que j'avais bien fait un séjour à Paris au moment décrit ( elle confirma aussi la robe en vichy )

Seulement j'étais à Paris dans la famille d'un ami, un éditeur connu de mes parents.

Et donc, le drame : ma mère a cru aussi que je lui avais menti et je fus convoquée sur le champ et sommée de m'expliquer...

L'ami en question, je l'avais perdu de vue...

Le doute resta donc planer, malgré mes fous-rires et mes dénégations !

Citation :

A n'ouvrir qu'après ma mort "

Dame ! Il est là une consigne mystérieuse qui ne saurait se justifier que par une histoire abracadabrante, curieuse, incroyable, lourde de conséquences incalculables , bref, je pourrais ajouter des mots à cette liste .

Réflexion faite, je me dis que la non participation d'Amanda au marathon 2011 ne pourrait être pardonné qu'à la condition expresse qu'elle nous en dise un peu plus ...

Catsoniou, tu n'es pas le seul à me reprocher ma non-participation au Marathon...

Bon d'accord pour le prochain mais on ne peut pas être à la fois au four et au moulin...

Il fallait une Modo aux idées claires pour tenir Kalé à bout de bras pendant que d'autres se vautraient dans le rire et passaient des nuits blanches...et en oubliaient des choses, mais des choses inimaginables !
Mais chûût, secret professionnel !

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