Il n'était plus question de marcher sur la tête.
Nous sommes en 1793 à Bordeaux, et il est déjà trop tard.
Je me retrouve dans la charrette des condamnés à la guillotine.
Nous empruntons la rue J'adore la liberté.Elle n'a jamais si bien porté son nom.
C'est notre dernier voyage. Notre ultime destination est la place Nationale.
Je vais mourir mais qu'importe.
Je suis révolutionnaire, téméraire et courageux comme le sont
tous les défenseurs du peuple.
Aussi sur l'échafaud , fier de moi, je crierai une dernière fois
ton nom: Liberté.