Tober, je trouve que ton poème valorise le blanc dans la nature, la peinture, la musique. Et là, il te plait. Je me trompe peut être mais c'est comme cela que je ressens les 3 premières strophes.
En ce qui concerne la dernière strophe, cette cassure dans le rythme est tout à fait voulue puisqu'elle exprime l'angoisse de la page blanche pour celui qui écrit. La page blanche = le trou noir. Là, tu n'aimes plus du tout le blanc et tu sembles préfèrer l'amnésie à l'anxiété qui génère une certaine panique quand on ne trouve pas ses mots.
Pour le titre - j'aurais du commencer par là - je n'aime pas trop "les vers blancs" : j'imagine des larves de hanneton
blanches aussi au fait ! Redoutables au jardin.